La pollution atmosphérique accroît le risque d’AVC et d’infarctus
Les personnes exposées à de fortes concentrations de particules fines sont plus susceptibles d’être victimes d’un accident vasculaire cérébral ou d’une crise cardiaque (causée par une formation aiguë de caillots). C’est ce qui ressort d’une étude de grande ampleur menée par la KU Leuven, l’Université d’Anvers, l’Université de Hasselt, Sciensano et l’Agence Intermutualiste (AIM). Il a été démontré que les effets peuvent se manifester dès le jour de l’augmentation de la pollution atmosphérique, ou jusqu’à deux jours plus tard.